09.11.2019
Aujourd’hui, direction la baie de Tokyo pour aller visiter les expériences interactives de TeamLab dont les mérites nous ont tant été vantés. Avant toute chose, petit déjeuner au «Citron Aoyama» juste à côté de l’hôtel. Un établissement tenu par des français, ça se voit dans l’image.
Pour nous rendre dans la baie, il faut prendre la ligne Yurikamome, un métro surélevé qui passe sur le fameux «Rainbow bridge».
Arrivée au TeamLab Borderless, heureusement qu’on a pris des billets à l’avance car il y a du monde. Aussitôt à l’intérieur, on se retrouve plongé dans une ambiance florale. En fait toutes les surfaces sont couvertes par des projections animées et parfois interactives.
Il y a aussi des jeux avec des miroirs, on ne distingue plus les limites du sol et du plafond. D’ailleurs (c’est fous, ils pensent à tout ces japonais), il y a même des «protèges jupes» à mettre dans les salles dont le plancher est couvert de miroirs.
C’est avec déception que nous sortons de l’exposition. On nous avait parlé «de trucs de fous où tu marches dans l’eau» mais là pour le coup… rien de spécial. Bon ok, il y avait une débauche de moyens techniques impressionnantes, quelques pièces qui te faisaient bien perdre tes repères mais globalement… tout ça pour afficher des fleurs et des papillons.
Nous allons donc faire un tour dans la grande roue qui se trouve juste à côté, histoire de profiter du soleil et de la vue. Et soudain, durant un instant de geekage, nous réalisons notre erreur: plusieurs exposition TeamLab cohabitent à Toyko et nous ne sommes pas allés voir la bonne. Heureusement, TeamLab Planet, celle qui nous intéressait à la base, est deux arrêts de métro.
Cette fois, on est au bon endroit. Les billets sont achetés en ligne, histoire de ne pas faire la queue en arrivant.
Avant toute chose, enlever les chaussures et les chaussettes. Valérie doit emprunter un espèce de «short de bain» car dans une des salles, l’eau monte jusqu’aux genoux et avec des slims, ça risque de ne pas le faire. Après avoir escaladé une rivière pentue (et s’être bien essuyé les pieds), on doit travers une salle remplie de «coussins dégonflés». C’est assez particulier et certain optent pour la technique du «je crawl sur le sol».
On a de nouveau droit à une salle avec des rubans de LED qui pendent du ciel… et quelques filles qui prennent la pause «for the ‘gram» comme disent les jeunes.
Voici ensuite la fameuse salle avec de l’eau jusqu’au genoux. Heureusement, elle est bonne! Les projections dessinent des kois qui nagent et par un jeu de miroirs, l’espace semble sans fin.
Certains prennent moins bien la pose que d’autres…
Pour le coup, l’expérience était bien cool. Le concept de tout faire pieds nus et de marcher sur plein de matérieux différents était rigolo.
Prochain arrêt de la journée, le nouveau marché aux poissons de Toyosu, inauguré l’année dernière par le déménagement de Tsukiji.
L’ambiance n’est pas pareille… fini les petites rue typiques, cette fois on est dans une infrastructure moderne et froide.
A gauche, l’intérieur du nouveau marché (à 15h tout est déjà fermé, bande de glandeurs), et à droite une image prise en 2017 à Tsukiji. Bilan… n’allez pas au marché aux poissons de Toyosu.
Et pour terminer, un petit arrêt à la vending machine!
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