Miyajima

11.11.2019

Le réveil sonne à 8h ce matin, la marée haute est prévue pour 8h30 et c’est l’occasion de voir le sanctuaire d’Itsukushima baigné dans la mer.

Pour la gigantesque porte torii, on repassera, elle est en rénovation jusqu’à l’été 2020! La biche est aussi désappointée que nous.

Petit déjeuner traditionnel pour moi et western style pour Valérie.

Au programme de la journée, monter sur le mont Misen (alt. 530 m) puis visiter le bourg de Miyajima et ses nombreux temples. Direction le départ du télécabine, les érables japonais sont parés de leur belles couleurs automnales.

La montée s’effectue en télécabine (on marche suffisamment chaque jours pour s’autoriser la cabine).

Avant d’atteindre le sommet, il faut encore crapahuter une vingtaine de minutes et traverser plusieurs sanctuaires. Il y a toujours plein de statuettes avec des lunettes, des chapeaux voir même des clopes!

Arrivés en haut du mont Misen, nous profitons de la vue sur la mer de Seto.

Nous attaquons la descente soit 2,5 kilomètres pour 500 mètres de dénivelés négatifs, attention les genous. Heureusement, le chemin est bien entretenu et les marches d’escalier sont nombreuses. Vu l’environnement et l’ambiance du lieu, on s’attend presque à croiser Lara Croft (version reboot, bien sûr).

Nous croisons encore de nombreux petits sanctuaires, parfois juste une statue sous un rocher et quelques ouvrages massifs qui servent à protéger le village des coulées de boue qui peuvent se produire lors des typhons.

Petit coup d’oeil sur le fameux sanctuaire d’Itsukushima.

Depuis que nous avons entamé la descente, il y a partout des panneaux «Danger!! Viper (japanese name mamushi – deadly poisonous snake)»… et bien nous en avons croisé une qui traversait le chemin devant nous, pépère. Elle mesurait un bon mètre long. Sympa.

Avant de rejoindre le village, nous visitons le temple Daisho-in, un sanctuaire bouddhiste majeur.

Ahh, Google Translate, si tu n’existais pas, il faudrait t’inventer.

A midi, nous mangeons un succulent Katsudon (du ris, une côtelette de port panée et des oeufs, servis avec de la soupe miso et des légumes marinés dans le vinaigre).

Détour par les rues marchandes typiques entre deux visites de temples…

La pagode de Toyokuni (construite en 1400 et des poussières) et le hall de Senjokaku (1580 et des poussières).

Et pour terminer, à nouveau le sanctuaire d’Itsukushima, mais cette fois à marée basse.

Les ouvriers n’ont pas terminé le travail dans la journée, malheureusement. Mais au moins la photo permet de se rendre compte de l’échelle.

Une petite glace au café (délicieuse) avant de retourner au Ryokan. A peine posé, une copine vient nous trouver pour voir s’il n’y a pas moyen pour elle de soigner son diabète.

Carte

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